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Actualités des collections

2022

2022
Nouvelle acquisition
Latifa Echakhch
(née en 1974)
Untitled (Seven chairs), 2015
7 chaises d’acrobatie en bois, assemblées et peintes en blanc
Courtesy Latifa Echakhch et Kamel Mennour, Paris
2022
Nouvelle acquisition
Roger-Edgar Gillet
(1924 – 2004)
Sans titre, 1953
Huile sur panneau de bois
© adagp 2022
2022
Nouvelle acquisition
Alphonse Le Henaff
(1821-1884)
Le Jugement dernier, vers 1852-1853
Huile sur toile
2022
Nouvelle acquisition
Jean-Baptiste Corneille
(1649-1695)
La Présentation au temple, vers 1670-1680
Plume et encre brune, lavis brun et gris

2020

2020
Noël Coypel
(Paris, 1628 – Paris, 1707)
Vénus et Adonis, vers 1700
Huile sur toile
2020
Sébastien Bourdon
(Montpellier, 1616 – Paris, 1671)
La Sainte Famille avec sainte Élisabeth et le petit saint Jean Baptiste, vers 1650-1660
Huile sur bois
2020
François Verdier
(Paris, 1652 – Paris, 1730)
Le Christ au jardin des Oliviers, vers 1690-1700
Huile sur toile

Le musée à ciel ouvert

Des œuvres du Musée des beaux-arts se retrouvent en grand format sur des murs du quartier sud gare entre le Boulevard Oscar Leroux et la rue Mauconseil en passant par Rennes Métropole ou l’Ecole de Villeneuve.

Si vous souhaitez les découvrir suivez la carte : 

 

 

Insolite

Odyle Hays, médiatrice au Musée des beaux-arts de Rennes

« Ceci n’est pas une fausse momie ! »

Parmi les pièces les plus remarquables de la collection égyptologique on peut citer un ensemble de quatre momies humaines et animales exceptionnelles. Récemment une étude réalisée par l’université de Manchester (R.U) a plus particulièrement attiré l’attention de la conservation sur la momie de chat déposée par le musée du Louvre en 1923 au musée des beaux-arts de Rennes : l’analyse de radiographies d’environ 800 momies d’animaux révèle que sous les bandelettes,  les corps sont parfois absents ou incomplets, l’enveloppe ne renfermant que quelques ossements.

C’est dans ce cadre que le musée a souhaité réaliser un premier examen, qui a eu lieu dans un cabinet vétérinaire rennais.  Le cliché révèle que les bandelettes ne contiennent pas un chat unique mais plusieurs spécimens. Les membres antérieurs et postérieurs sont attribués à, au minimum, trois animaux distincts.

A ce stade, la découverte va prendre une impulsion incroyable puisque les chercheurs de l’IRISA de l’INSA Rennes, de l’Université de Rennes 1 et de l’INRAP intègrent alors la momie dans leur dispositif de recherche en imagerie. Des éléments invisibles à la radiographie apparaissent  et sont  imprimés en 3D.

 

Découverte en vidéo :

   

Découvrez le site Francis Pellerin

Afin de compléter votre curiosité sur les oeuvres de cet artiste : soyez curieux!